L’image a marqué les esprits : une cavalière en armure argentée qui galope sur la Seine lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024. Derrière ce moment spectaculaire, une femme audacieuse. Morgane Suquart, entrepreneure et passionnée d’innovation, mais aussi un véritable travail d’artisanat et de technologie. Aujourd’hui, la tenue de la Cavalière d’Argent rejoint le prestigieux Palais Galliera, musée de la mode de Paris. Une exposition qui témoigne de l’union entre tradition équestre et modernité.
Une tenue remplie d’histoire
L’armure argentée portée par Morgane Suquart lors de la cérémonie d’ouverture des JO 2024 n’est pas un simple costume. Conçue avec minutie, elle est à la fois la puissance et la grâce du monde équestre. Une tenue inspirée des cavaliers de légende, elle reflète également le savoir-faire français dans l’univers de la mode et du spectacle. Son exposition au Palais Galliera lui donne une nouvelle dimension . Celle d’un objet emblématique de l’histoire olympique et d’un symbole de l’audace féminine.
Un parcours hors du commun
Avant de devenir la Cavalière d’Argent, Morgane Suquart a parcouru son propre chemin. Entrepreneuse à la tête de MMProcess, une entreprise innovante située en Bretagne.
Elle a imaginé le trimaran électrique à foil qui a permis au cheval mécanique de « galoper » sur l’eau. Son portrait, que nous avons déjà réalisé ici, montre son engagement dans l’innovation et sa passion pour le dépassement de soi.
Le costume signe de son empreinte
En intégrant les collections du Palais Galliera, cette tenue devient bien plus qu’un simple souvenir des JO. Elle s’impose comme une pièce remplie d’histoire avec ses touches artistiques.
C’est une armure qui, en plus de son esthétique impressionnante, reflète l’audace, l’innovation et la place de plus en plus grande des femmes dans des domaines où on ne les attend pas toujours.
L’exposition de cette tenue au musée de la mode de Paris prouve que la mode, l’histoire et la performance se combinent pour donner naissance à des moments inoubliables. Une belle reconnaissance pour une femme qui, elle aussi, continue d’écrire l’histoire.
